La réserve naturelle des 4 chemins

Lundi 9 mars, chaussés de botte en caoutchouc et d'un bon vêtement de pluie, les enfants de CE2 sont allés toute la matinée, visiter la réserve des 4 chemins de BELZ. Ils ont été accueillis par 2 bénévoles de l'association "Bretagne Vivante". Hélène et Martin ont expliqué les particularités de cette réserve : l'éryngium (plante endémique) et le lépidure (crustacé endémique). Les enfants ont ensuite essayé de capturer et d'identifier tous les animaux vivant dans la mare temporaire. La liste est longue :

-          Des amphibiens : salamandre...

-          Des insectes : dytique, larve de moustique, corise, naucore,  chironome,  phrygane...

-          Des mollusques : planorbe, limnée...

-          Des crustacés : lépidure, cyclope...

La matinée a été riche en découvertes et a permis un début de prise de conscience de la biodiversité et de l’équilibre fragile de ce biotope.

Paroles d'enfants :

Nous avons pu observer toutes les espèces de la mare. Nous les avons regardées dans des bacs.         

Nous les avons capturées et mis dans des pots transparents.

                                   Achille

On est parti de l'école, une route de dix minutes jusqu'aux marécages. Nous sommes arrivés dans un espèce de champ, nous avons rencontré nos moniteurs et monitrices qui étaient très gentils.

Nous avons péché toutes sortes de petits poissons et de mues.

Nous étions en groupe de quatre. J'ai aimé pécher les poissons dans les bocaux. 

                                                       Malo

On a vu des larves de moustiques. Ensuite on a vu des salamandres. J'ai adorée cette sortie.

                                               Anaïs

Nous sommes allés à la mare à pied depuis l’école.

Nous étions accompagnés par le mari de Patricia, la maitresse et mon père Olivier.

Au départ c’était pour voir une plante qui pousse naturellement qu’à cet endroit.

Mais nous n’avons pas pu la voir car elle était sous l’eau. Nous avons capturé des insectes et une larve de salamandre. Nous les avons rejeté à l’eau parce que c’était obligé pour préserver la nature.

                                                    Melvil